Vacances d'avril en famille

La météo annonce pour notre premier week end de vacances un fort coup de vent sur notre zone de navigation. Nous décidons avec Amélie de rester le temps du week end à Denneville la maison de vacances de mes parents où nous devons récupérer les filles. Amélie profite de l'occasion pour aller faire la marée (pêcher à pied à marée basse) et fait un beau plateau de crabes pour le soir. Cette petite pause, nous permet de faire l'acquisition d'un panneau solaire d'occasion pour le bateau qui est en vente dans la Manche également. N'ayant pas les bons diamètres de fils électriques, il restera à Denneville pour l'instant. Pas la peine de s'embêter avec à bord le temps des vacances s'il ne va pas servir.

Lundi  4 avril

Malgré une pause sandwich à mi parcours, le trajet est un peu long pour les filles. Arrivés sur place, la petite plage du Logeo est vite prise d'assaut par les filles. Je profite de ce moment de détente et de décompression des filles pour faire un premier voyage en annexe jusqu'au bateau afin d'embarquer nos affaires pour les vacances. A l'aller, l'annexe est très chargée et le courant contraire, j'ai l'impression que le trajet dure une éternité, heureusement les choses s'inversent au retour. En installant les affaires à bord, je vérifie que tout va bien, ce qui est le cas.

Revenu à terre, les filles enfilent leurs brassières, elles sont parées pour un embarquement immédiat. Lise prend la barre du moteur d'annexe, elle se souvient parfaitement de la manœuvre, c'est donc un moussaillon parfaitement expérimenté qui nous emmène à bord de Samba Lele. A peine à bord, elle demande si l'on peut sortir la canne à pêche afin qu'elle puisse pêcher. Je lui prépare canne à pêche et hameçons pendant qu'Amélie range le bazar que j'ai mis dans le bateau.

Appel de Stéphane, il se propose venir chercher notre remorque pour ne pas qu'elle reste sur le parking le temps de notre séjour à bord. Le rendez vous est pris. Il est venu avec son fils Charles. Ils embarquent à bord le temps de boire le verre de l'amitié et leur offrir quelques spécialités culinaire de Normandie pour le remercier de toujours si bien nous recevoir et de tout ce qu'ils font pour nous avec Geneviève.

Dés que je reviens d'avoir déposé Stéphane et Charles à terre, je m'attèle avec Amélie à la découpe du matelas de la couchette d'Inès. Drap et duvet sont installés pour qu'Inès puisse faire un essai rapide, car c'est déjà l'heure du diner.

Le repas est vite avalé car nous avons promis à Lise de jouer avec elle à Citadelle, un jeu qui mélange jeu de rôle,  jeu de cartes et jeu de stratégie, un must. Inès profite de ce temps récréatif pour sortir les cahiers de coloriage et essayer les crayons de couleurs du bord.

Les filles se couchent dans leurs cabines respectives, lecture d'une histoire pour chacune des filles avant d'éteindre la lumière.

Mardi 21 avril

Réveil matinal pour le capitaine, mais trop tard pour le lever du soleil. Je profite de ce moment de calme pour rédiger le livre de bord. Inès me rejoint rapidement, câlins et coloriage pour commencer la journée de la demoiselle. S'ensuit une séance de câlins bisous dans le lit de sa mère pour la réveiller.

Au vu des conditions météo annoncées et après discussion avec Amélie, nous décidons de rester dans le Golfe du Morbihan et choisissons la plage au sud d'ouest de l'ïle d'Arz pour installer notre campement provisoire. Nous apprendrons par la suite qu'une houle d'ouest rend les mouillages à l'abris du vent sur les iles de la presqu'île de Quiberon inconfortables.

Nous déjeunons tous les trois pendant que Lise continue son repos du guerrier.

Je prépare le bateau à la navigation pendant que Lise déjeune et Amélie range la table du petit déjeuner.

Pour cette courte navigation, Lise décide de rester dans le carré à dessiner ou dans sa cabine à lire. Inès, Amélie et moi sommes dehors à la manœuvre.

Vent et courant de face nous font choisir l'option navigation au moteur avec la grand voile haute. Nous profiterons des qualités nautiques du bateau une autre fois, nous privilégions une navigation courte pour que les filles soient à l'aise pour ces premières heures à bord.

Nous jetons l'ancre dans moins de 5 mètres d'eau. Le vent prévu pour la nuit étant assez fort, nous mettons pas mal de longueur de chaine. Le guindeau manuel utilisé pour la première fois semble facile d'utilisation, nous verrons lors du relevable ce qu'il en est.

L'annexe qui est restée gonflée sur le trampoline est mise à l'eau pour aller visiter cette plage inconnue. Lise est désignée comme la barreuse officielle de l'annexe, elle arbore un sourire resplendissant. Cette grande plage de sable (pas très fin) est superbe ; vue magnifique, parties ombragées, bancs, table de pic nique et aujourd'hui, en prime, nous sommes à l'abris du vent. Nous partons vers le bourg car nous devons faire quelques courses. Les filles manquent un peu de courage et de motivation, avant le bourg, je fais demi tour avec elles direction la plage, pendant qu'Amélie va faire les emplettes pour le bord.

Sur la plage, le soleil et la température ambiante nous font croire que l'on est en été, jusqu'à ce que l'on mette les pieds dans l'eau pour nous rappeler à notre bon souvenir, on est bien en avril. Amélie profite de la route de retour pour prendre le chemin des écoliers et découvrir un peu plus cette île.

L'avis est collégial, pic nique à terre ce midi, je fais l'aller retour au bateau avec notre barreuse d'annexe pour aller chercher notre repas.

L'après midi est consacrée à jouer sur la plage pour les filles, bouquiner pour Amélie et se reposer pour moi.

Le gouter est pris à bord, Lise révise un peu ses devoirs, puis nous partons tous les deux pêcher... enfin essayer, car rien ne mord.

Le retour à bord est l'occasion pour chacun de faire ce qui veut en attendant le repas.

Pendant le repas, Alain Veyron qui passait dans le coin avec son bateau fait un détour pour nous saluer. Il a reconnu le bateau de loin pour nous l'avoir vendu.

Nous finissons cette journée par une séance cinématographique. Harry Potter 3 pour les grands sur le PC posé sur la table du carré, la Reine des neiges sur la tablette pour Inès qui est installée pour l'occasion dans sa couchette.

Mercredi 22 avril

Une petite tête blonde frisée arrive dans notre coque alors que nous sommes encore couchés avec Amélie. Inès veut aller aux toilettes. Quand on lui propose de venir nous faire un câlin, dans le lit, elle ne se fait pas prier et nous rejoint sous la couette. 

Je me lève le premier pour faire le petit déjeuner, ça réchauffe l'intérieur du bateau, pas le temps de rédiger le livre de bord ce matin.

Lise nous rejoint pour le petit déjeuner, puis nous embarquons à deux dans l'annexe pour tenter une nouvelle fois la pêche miraculeuse. Hameçons neufs, et couleurs de plumes changée par rapport à hier, nous pointons l'étrave de notre frêle embarcation vers la pointe de Léos au sud de l'ïle d'Arz avec dans notre sillage notre ligne de traîne étincelante. Nous échangeons nos places avec Lise pour connaître la main la plus chanceuse, mais rien y fait. Nous tentons d'arrêter le moteur et de continuer à la rame pour diminuer le bruit perturbateur du moteur. Hélas, hélas, hélas, le poisson ne veut pas mordre. Nous rentrons bredouille encore une fois.

A peine arrivé à bord, je repars à terre, mais cette fois-ci, seul dans l'annexe. Je profite de ce moment sans les filles pour leur préparer une chasse au trésor. Les filles sont ravies à l'annonce de cette activité. Cette chasse au trésor possède une règle un peu spéciale, il faut que les deux participantes aient trouvé l'indice avant de pouvoir le prendre.

Une fois le trésor découvert, retour à bord pour le partage du butin et le repas de l'équipage. Le trésor est à la hauteur de leur espérance, tout du moins c'est ce qu'elles nous font croire :

boite de perles pour Inès

cartes Pokemon pour Lise.

Amélie avait eut l'idée d'acheter ces cadeaux en prévision des vacances, au cas ou... Belle intuition.

La première gorgée d'apéro est encore dans notre gosier quand deux bateaux à moteur nous foncent dessus. C'est Stéphane, des copains à lui et leurs enfants qui partent pic niquer sur l'île d'Arz. Nous les invitons à boire l'apéro ensemble à bord. En quelques secondes, nous voilà à 14 à bord, mais il reste de la place. Cet apéritif est un moment de convivialité et de franche rigolade, bref des moments comme on les aime.

Après le repas, sieste ou bricolage pour les adultes jeux pour les plus jeunes. Au moment de partir à terre retrouver Stéphane et sa bande, nous les voyons reprendre la mer. Nous retournons tout de même à terre à la recherche d'un gouter glacé pour les filles. La supérette n'a pas ce que l'on cherche, nous faisons un détour jusqu'à un snack vendeur de glace. Si l'affiche est alléchante, le congélateur est presque vide, il a été dévalisé par les touristes en manque de fraicheur. Lise et Inès choisissent chacune leur glace puis nous retournons sur la plage où les filles se défoulent, Lise dans un arbre, Inès sur le sable.

Nous finissons notre journée par un dessin animé que l'on regarde tous ensemble sur la table du salon.

Jeudi 23 avril

Réveil matinal pour la rédaction du journal de bord, Inès tarde à se lever, je reste donc seul dans le carré. 9H30 sonne quand elle se réveille, Lise suit sa sœur, puis Amélie.

Tout le monde s'habille, le bateau est préparé pour la navigation, car aujourd'hui, nous allons à Conleau. C'est encore une bien petite navigation pour notre destrier des mers capable de bonnes vitesses moyennes ou d'affronter des mers biens plus agitées que ce que nous rencontrons depuis que nous l'avons. Encore une fois priorité au bien-être des filles dans ces premiers moments à bord du bateau.

L'ancre est relevée au guindeau manuel, ce système semble adapté à cette taille de bateau, un peu long, mais peu d'efforts. Nous envoyons les voiles dans un vent très faible et arrêtons le moteur. Le bateau se déhale entre 1 et 3 nœuds selon les "rafales" du vent.

Nous mettons la ligne de traîne à l'eau, ce qui fait sortir les filles qui étaient depuis le début de la navigation dans le carré.

Je n'ai pas eu le courage d'installer le gennacker ou le spi pour seulement quelques minutes car le plus long bord doit se faire au prés. J'ai eu tord, le vent est vraiment faible.

En passant par le nord de l'ile d'Arz, nous croisons un tricat 25 Evolution fraichement mis à l'eau avec à bord Antoine Houdet pour aider le propriétaire à prendre en main son bateau. C'est Antoine qui avait construit notre premier trimaran.

La remontée vers Conleau est toujours aussi magnifique. Nous trouvons une bouée assez proche du port. Lise se souvient de l'endroit et de la piscine d'eau de mer, mais c'est pour l'instant l'heure du repas. Nous sortons le Cobb pour essayer de  nouveau de dompter la bête. Nous laissons le charbon prendre, puis nous installons la plaque, puis la viande, puis le couvercle comme noté dans la notice. Résultat : la viande est cuite, mais pas grillée comme sur un barbecue classique. Décidément, on a bien du mal avec cet appareil.

Lise se fait une joie de nous emmener à terre, elle sait désormais démarrer le moteur, le passer en marche avant et l'arrêter. A terre, la piscine est ouverte, l'eau y est tiède, les filles vont s'y baigner pratiquement une heure. Après un petit tour en annexe dans la rivière, nous remontons à bord pour le goûter.

Je profite de la fin d'après midi ensoleillée pour faire un grand nettoyage de printemps dans les coffres, pendant que les filles jouent dans le carré toutes les trois.

Nous dinons avec cette magnifique vue sur la rivière de Vannes. Des bateaux de passagers nous dérangent un peu mais souvent en créant des vagues dans leurs sillages. Ça fait rigoler Lise de voir les autres bateaux bouger et gîter énormément à chaque vague, surtout un bateau jaune qui s'agite plus que les autres, pendant qu'à bord de notre cata nous restons à plat.

Après le repas, les filles filent jouer ensemble dans la cabine de Lise. Amélie et moi, installés dans le cockpit, prenons plaisir à regarder des oiseaux virevolter autour du bateau pour pêcher. Nous prenons notre café devant ce spectacle avec le couché de soleil en fond.

Une fois les filles couchées, nous restons un peu dans le carré, Amélie prépare la liste de courses à faire pour la prochaine fois, pendant que je rédige le livre de bord.

Une nuit calme se prépare.

Vendredi 24 avril

Après la rédaction matinale du livre de bord, je m'attaque pour la troisième fois à la tentative du passage de bosse du troisième ris pendant que tout le monde dort. Ce bout permet de réduire la grand voile en cas de vent fort, le troisième ris servira en cas de vent très fort. J'espère ne pas avoir à l'utiliser, mais si il y a besoin il faut qu'il soit opérationnel. C'est lors de l'hivernage des bouts pour les rincer que j'ai fait une bêtise en laissant partir le bout dans la bôme.

Pour cette nouvelle tentative, je profite de l'absence de vent pour envoyer la grand voile et démonter la bôme afin de pouvoir la tourner pour facilité le passage de l'aiguille. Papa m'a prêté la sienne. Cet accessoire est conçu pour faciliter le passage de câble dans des endroits difficiles. Lise est la première à se lever, elle joue dans le carré. J'insiste un peu, mais toujours rien, le vent monte, la voile sans bôme commence à faire n'importe quoi, et pourrait s'abîmer. J'abandonne, surtout que c'est l'heure du petit déjeuner, Amélie est levée.

Inès est encore couchée, elle nous rejoint pendant le petit déjeuner. A terre, nous allons à la découverte de la partie sud ouest de la rivière de Vannes, entre Conleau et Kerguen. La première partie est un sentier pierré suivant un rempart, s'ensuit un sentier pédestre boisé avec vu sur la rivière. Cette randonnée met les filles en joie. Elles sont d'une humeur charmante. Nous terminons ce trajet aller avec de nouveau un sentier pierré longeant un rempart qui donne sur le Golfe et l'estuaire de la rivière. Le retour est l'occasion de faire un jeu sur une racine que Lise à vu à l'aller. Le but est de faire semblant de tomber en se prenant le pied dedans avec photo à l'appui pour réaliser un vote par la suite.

Après cette balade, nous allons à l'air de jeu qui se trouve à côté de la piscine d'eau de mer. Les filles s'amusent follement.

Ce midi, notre chef cuisinier préféré ,maitre cook en terme marin ou Amélie pour les intimes, a prévu poulet frites. Si les aiguillettes de poulet froid sont déjà déjà prêtes à bord, il en est tout autre chose pour les frittes. Nous n'avons rien pour en faire à bord. Nous nous arrêtons à une cabane à frites pour régler provisoirement ce problème technique. Dans l'annexe, Lise a cédé sa place de pilote pour porter le butin tant convoité. On dirait Jack Sparrow découvrant la fontaine de Jouvence. Ce repas est un délice, les filles se délectent de chaque bouchée.

Vient malheureusement le moment du retour à notre point de départ, il y a peu de vent mais assez pour avancer à la voile. Amélie veut essayer d'envoyer la grand voile. Le premier tiers est envoyé à la volée (sans assistance), puis elle utilise le winch (sorte de treuil démultiplicateur) pour finir le travail. Si l'effort est plus important que sur notre ancien bateau, Amélie accomplit son travail jusqu'au bout.

Dés le chenal de sortie de la rivière dans notre sillage nous déroulons notre foc pour commencer le ballet des virements de bord. Le vent arrive de l'endroit où l'on doit aller, nous devons jouer avec le vent et le courant pour arriver à destination. Amélie a promis de jouer avec les filles, pour ma part, même si le pilote automatique n'est toujours pas initialisé, je pense pouvoir gérer le bateau tout seul. Amélie étant en support au cas ou c'est un bon test. Les premiers virement de bord sont laborieux, mais je trouve mes repères au fur et à mesures des manœuvres. A la barre, il faut être concentré pour trouver le bon cap. Plus on est face au vent et moins il y a de distance à parcourir, mais plus on s'écarte et plus on va vite, plus il y a de distance à parcourir. Difficile de savoir si le bateau accélère grâce à une rafale de vent ou à cause d'une erreur du barreur. Le vent  se renforce au cours de notre navigation, nous finissons notre balade avec un vent de 14-16 noeuds soit 4-5 beaufort. Le bateau marche bien, c'est agréable de le faire marcher, mais il devient assez ardent, on doit toujours tirer sur la barre pour qu'il aille droit. Comme me l'a conseillé Alain Veyron, il va falloir régler le mat et lui donner un peu de quête, le mettre vers l'arrière pour régler ce problème.

Arrivés au Logeo, nous allons chercher notre voiture pour aller faire des courses et rechercher notre remorque.

Le repas du soir est l'occasion de faire une dégustation de galettes et crêpes bretonnes. Décidément c'est pas la journée la plus diététique. Pour clôturer cette journée, nous jouons à Citadelle et au Dobble avec les filles.

Samedi 25 avril

Temps pluvieux et venteux ce matin comme l'avait prévu la météo. Rangement  et lavage du bateau pour les grands, coloriage pour décorer le bateau en ce qui concerne les filles. Nous avions prévu un pic nique à terre pour le midi, mais au vu des conditions météo nous choisissons de le faire à bord à l'abris. Le retour à terre en annexe est géré par le capitaine car un clapot mouillant s'est levé et Lise doit encore progresser pour emmener un équipage dans ces conditions. Je retourne au bateau pour aller chercher les affaires. Vent latéral et courant de face, le clapot s'est encore levé, je suis content de m'être équipé avec bottes, salopette et veste étanche, les embruns me fouettent le visage et remplissent légérement l'annexe. Le retour se passe correctement malgré le courant qui prend encore de la vitesse. Un sac a été oublié à bord. Il y a les clefs de la voiture à bord, je dois y retourner. Cette fois-ci l'aller est l'occasion de tester pleinement l'étanchéité de mon équipement, je suis détrempé, il y a plus d'un demi litre d'eau au fond de l'annexe. Le sac était caché sous la table à carte. Je commence à connaitre les endroits ayant le moins de clapot pour le retour qui se passe sans problème.

Amélie va chercher la voiture garée sur le parking en haut du bourg, pendant que je dégonfle l'annexe avec les filles. Nous chargeons la voiture et la remorque, je me change pour être plus présentable car nous allons au jardin des papillons à Vannes avant de rentrer à la maison.

La fin des vacances se passe dans ce jardin. Cet endroit est en réalité une immense serre où naissent et vivent des centaines de papillon. Le temps pluvieux et sombre fait qu'ils ne volent pas beauoucp et sont donc peu visibles. Nous commencons la visite par l'éclosoir, puis découvrons un jardin extraordinaire avec une faune colorée et animée de papillons et d'oiseaux. Les filles sont sous le charme de ces animaux ailés.

Voilà des vacances bien remplies. L'équipage revient avec le sourire. Les peaux se sont légérement brunies au soleil, et les têtes sont remplies de belles images. Vivement le prochain passage à bord.

Alexandre

 
  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !